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Présentation du jeu de plateau G-SciTeK

G-SciTeK, signifiant Gestion Scientifique et Technologique pour Katharsis, est un jeu de gestion par cartes de projets technologiques de deux à six joueurs, dans l’univers de Katharsis. Le jeu de rôle futuriste assisté par ordinateur Katharsis est disponible auprès de Majh (cf. la rubrique Membres permanents, contacts sur ce site). Ces deux jeux peuvent être éventuellement interconnectés, G-SciTeK alimentant les actualités de Katharsis et inversement les personnages et organisations de Katharsis pouvant apparaîtrent dans G-SciTeK. L’action se déroule ainsi en 2416, où la donne géopolitique a fortement évolué : la France a éclaté en six États et micro-États — dont la France du Sud et la France du Nord —, les USA et le Canada sont devenus la Fédération Nord-Américaine — économiquement affaiblie par la guerre contre le Moyen-Orient —, les États-Unifiés d’Afrique et surtout l’Union Indienne profitant de l’affaiblissement général pour s’élever au rang de premières puissances mondiales, et Europa tentant de maintenir une position respectable face à ces deux nouveaux géants économiques.

Dans ce contexte de course économique, en particulier à travers les nouvelles technologies, les joueurs vont devoir développer un ou plusieurs projets, en passant par des phases d’obtention de budgets, de recherche scientifique, de tests de prototypes, d’espionnage et de veille technologique, et enfin de production. Six domaines sont privilégiés par le pays de chaque joueur :

  • les nouvelles énergies : la fusion nucléaire ayant remplacé la fission nucléaire, le pétrole synthétique tentant de s’imposer alors que le gaz et le pétrole naturels ont disparu, et l’exploitation de l’hélium 3 étant répandue malgré un rendement plus faible que prévu, les joueurs peuvent choisir d’innover dans ce domaine en développant de nouvelles formes d’énergie (stockables, plus propres, plus rentables, etc.) ;

  • les nouveaux matériaux : que ce soit dans l’habillement, le bâtiment, les transports, l’informatique, l’audio-visuel, de nombreux progrès sont possibles ;

  • les nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC) : le développement d’Orizon, successeur d’Internet, permet de transférer une quantité phénoménale d’informations d’un point du globe à un autre, les possibilités d’exploiter ce réseau étant infinies ;

  • la biotechnologie : le bouleversement qu’a été la commercialisation des Réseaux Neuronaux Symbiotiques — sortes de cyber-cerveaux à base de nanomachines — a placé au-devant de la scène les biotechnologies, mais elles ne se limitent pas au domaine neurocybernétique, comme l’attestent les études sur la génétique, les vaccins, les armes biologiques, etc. ;

  • l’aéronautique : les pilotes ayant été remplacés par des Intelligences Simulées Virtuelles, les aéronefs offrent de nouvelles possibilités, tant dans leurs performances que dans leurs missions ;

  • l’aérospatiale : l’ultra-saut permettant de voyager hors du système solaire étant dorénavant une réalité grâce aux sondes inhabitées envoyées dans l’espace, le développement de véhicules spatiaux et de stations est en plein essor.

Couleurs des cases :

  • violet : recherche ;

  • vert : brevet ou publication ;

  • orange : test du prototype ;

  • bleu : production.

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